La population de l’Alberta veut la sécurité publique, point final

La population de l’Alberta veut la sécurité publique, point final

Avec tout le blabla politique entourant les services policiers dans notre province, il est sans doute difficile de savoir ce que pense réellement la population de l’Alberta. Selon la Fédération de la police nationale, 78 % de la population albertaine ne voient aucune raison de changer de modèle policier. Au fond, les gens de la province se soucient de résultats solides en matière de sécurité publique, assurée avec efficacité, et les municipalités semblent vraiment vouloir améliorer ce qui fonctionne déjà bien avec la GRC.

Le coût réel pour les collectivités où œuvre la GRC

Bien que Calgary et Edmonton disposent de leurs propres forces de police, en dehors de ces villes, c’est la GRC qui répond aux urgences et qui porte les accusations pour les crimes majeurs, y compris dans des domaines très délicats comme le trafic sexuel, la pornographie juvénile et le trafic de stupéfiants. 

Un syndicat de sécurité publique lance une campagne pour bloquer la transition vers une force policière provinciale

Le Syndicat des employé-e-s de la Sécurité et de la Justice (SESJ) — un syndicat national qui représente plus de 17 000 employés de la sécurité publique fédérale, dont plusieurs milliers qui travaillent pour la GRC dans tout le pays — a lancé une campagne en Alberta pour s’opposer aux plans potentiels du gouvernement provincial visant à rompre les liens avec la GRC pour mettre en place une force policière provinciale.